Je n’avais jamais lu de Paulo Coelho avant de lire le Zahir.

J’avais donc un certain nombre d’appréhensions pour comprendre le phénomène Paulo Coelho,tout autant que m’intéresser au livre et à son intrigue.
Je me suis en effet souvent méfié des best-sellers en particulier lorsqu’il s’agit de développement personnel.

C’est donc avec un mélange d’appréhension et d’intérêt que j’ai découvert ce livre.

De nombreuses notes de lectures existent sur des sites d’exception pour décrire la trame et les personnages de ce livre. Je n’en parlerai donc que brièvement. Je préférai focaliser mon analyse sur les nombreuses leçons tirées de ce livre, et mon ressenti général.

J’ai appris à mieux accepter l’amour que je pouvais avoir pour l’autre. On peut être amoureuse ou amoureux d’une personne qui soit ne nous aime pas en retour, soit ne conçoit pas de vivre cet amour qu’il ou elle partage, de la même façon que nous.

Cela ne signifie pas que nous devrions arrêter de l’aimer ou nous en vouloir pour les sentiments que nous ressentons. Accepter qu’on aime et que l’autre peut avancer sans nous, et que nous devons avancer aussi voilà de quoi il s’agit.

Le Zahir m’a parlé car à plusieurs égards, je vois les choses comme Paulo Coelho. Il y a des livres qui tombent pil poil quand vous en aviez besoin et ce livre en était un. J’ai admis que moi aussi j’avais ce Zahir dans ma vie, ce diadème amoureux, et il fallait pouvoir lâcher prise pour véritablement avancer.

Je ne pourrai pas dire que le processus est réussi, loin de là, mais il est totalement et absolument engagé.

Le Zahir n’est au final pas un roman d’amour, ce n’est pas un Harlequin ou un Barbara Cartland. On sent bien que rien ne prédit automatiquement une fin heureuse. C’est un roman de vie, et la vie peut être parsemée de joies mais aussi de grandes douleurs , et il ne tient qu’à nous de les accepter et de continuer à vivre ardemment et passionnément malgré tout.

Tout ceci constitue quelques enseignements tirés de la lecture de ce court roman de Paulo Coelho. J’attends de pouvoir sous peu, lire enfin “L’alchimiste” mais je peux d’ores et déjà confirmer que “Le Zahir” en vaut la peine.

Et vous? Qu’en pensez-vous ? L’avez-vous lu ou lu un autre Paulo Coelho ? Le recommanderiez-vous? J’attends vos retours en commentaire 😊😊😊, sur Facebook ou sur Twitter.