L’univers est souvent parfaitement capable de nous entendre. J’étais déterminée aujourd’hui à respecter mon rendez-vous mensuel avec vous. Me voici donc là pour vous parler d’un livre qui m’apparaît véritablement utile pour le plus grand nombre.

On retrouve le titre “7 habits of effective people” De Stephen J Covey, dans de nombreuses listes de bouquins essentiels à lire dans une vie. Je l’avais d’ailleurs découvert au travers d’une de ces listes. C’était en 2017. Je me suis précipitée de le trouver et va savoir pourquoi, Je l’ai conservé pendant trois ans avant de le toucher.

Je crois fermement que tout arrive à point nommé. En effet, 2020 est pour moi une année, mise sous le signe de la croissance. Cet ouvrage icône dans le domaine du développement personnel était donc nécessaire dans ce processus.

Je viens à peine de terminer la première partie et je me suis rendue compte que ce livre est vraiment profond. De ce fait, Je souhaite l’étudier au travers de plusieurs articles. D’ailleurs, c’est ce que recommande l’auteur. En effet, il suggère de s’arrêter pour réfléchir et mettre en application ses préceptes, à la fin de chaque chapitre.

Qu’ai-je donc appris à ce stade de ma lecture et de manière générale, quel est le but du livre et que peut-on en tirer?

1. Des principes plutôt qu’un livre

Dès la première page du livre, j’ai été surprise par l’approche. Pourquoi un changement de paradigme alors qu’on parle d’habitudes pour améliorer la productivité? Pourquoi parler de philosophie ou de psychologie là où on s’attend à parler D’efficience au travail? N’ayant volontairement pas Lu la quatrième de couverture de ce livre ou une revue critique, je ne pouvais que me fier à mon analyse du titre.

Bien que Stephen J Covey semble nous mener vers le monde professionnel, il part d’abord de nous-mêmes. En effet, comment être efficient si nous n’ajustons pas nos comportements profonds? Ce livre suppose donc totalement une remise en question de soi et de ce fait va bien plus loin que sa forme (un simple livre).

2. Changer de paradigme

Stephen J Covey, nous invite tout simplement à repenser notre vision du monde. Qui aurait pu s’y attendre au vu du titre?

Je dois cependant reconnaître que je n’ai pas été étonnée. En effet, dans mon quotidien et mon cheminement de croissance, je l’ai souvent observé. Changer la manière dont j’appréhende les choses, m’a très souvent été salutaire. C’est comme si je reprogrammais mon cerveau lorsque nécessaire. Chacune de ces reprogrammations, a été salutaire et positive.

Un exemple pour moi, a été la décision de prendre le temps quotidiennement de méditer. Choisir de communier avec moi-même, apparaît toujours comme la meilleure manière de commencer la journée.

Ainsi, le livre a complètement résonné en moi, en me permettant de mettre un nom sur des attitudes que j’ai pu développer mais qui ne sont malheureusement plus stables. J’ai donc considéré cette lecture comme une piqure de rappel et un encouragement.

Les paragdimes que nous choisissons dans nos vies sont donc essentiels car ils impactent nos interactions avec le monde. Par exemple, en face d’une image lambda, deux personnes auront des réactions et des pensées totalement différentes du fait de leurs paragdimes respectifs. En somme, chacun sa vérité.

3. Le paragdime au coeur de la transformation et de l’efficience

Stephen J Covey a réussi à me convaincre du principe selon lequel il y a des attitudes clefs qui assurent l’efficience pour tous. Elles sont inscrites ou s’inscrivent dans notre caractère et peuvent donc être apprises ou faire partie de nous. Cependant, ce sont des lois naturelles qui décrivent la Vie entre êtres humains et quand bien même nous ne les pratiquons pas, nous les connaissons tous.

Ce qui m’a marquée, c’est le fait que ces lois soient associées aux étapes de la croissance. Très souvent, nous recherchons un objectif en essayant de sauter des étapes. Les principes naturels qui gouvernent les échanges entre humains, nous ramèneront sans aucun doute à la case départ.

C’est tout comme envisager de naître, sans apprendre à s’asseoir, et marcher directement. Vous conviendrez avec moi que c’est tout simplement impossible.

À la lecture , je me suis effectivement demandé combien de fois, j’avais voulu aller trop vite. J’ai ainsi constaté que face à la douleur, j’avais souvent voulu sauter les étapes. Je faisais tout pour raccourcir ou ignorer la période durant laquelle on intègre mentalement qu’on a eu mal et j’essayais de passer directement à l’appropriation.

Si je prends l’exemple du deuil, on se retrouve un matin sans force et en pleurs. Lorsqu’il s’agit d’une relation de couple, on enchaîne avec une autre relation et le résultat est souvent désastreux.

Prendre le temps d’être, d’appréhender la Vie et de lui donner un cadre semble donc au final comme une solution simple et intelligente.

Voici les quelques leçons retenues de la lecture de la première partie du livre de Stephen J Covey. En cette fin d’année, c’est un Roman que Je vous recommande vivement, afin de préparer au mieux l’année qui arrive.

En ce qui me concerne, le terminer fera partie de mes outils, pour commencer l’année sereinement. J’ose croire que vous avez eu envie de le lire au travers de cet article.

Love, Anna